MARTIN BERTRAND

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PAYSANS DES RUES – CASABLANCA

Né à New York et au Canada, le mouvement citoyen des jardins partagés et de l’agriculture urbaine propose aux habitants de produire eux-mêmes des fruits et légumes. Par ailleurs, l’objectif n’est pas uniquement productif car, derrière ce mouvement, on retrouve un réel intérêt social et pédagogique. En effet, dans un monde où la population urbaine ne cesse de croitre, il s’avère nécessaire pour l’avenir de faire prendre conscience aux habitants des enjeux du foncier et de l’agriculture. Créer un lien à la terre en utilisant des techniques à la fois naturelles et modernes permet de se questionner sur nos modes de productions agricoles. D’où vient ma nourriture? Que vais-je trouver dans mon assiette?

Il s’étend aujourd’hui dans le monde entier et notamment à Casablanca, relatée via cinq initiatives à travers la capitale économique du Maroc.

Tout d’abord, le jardin potager en permaculture de la Fondation sociale Oum Keltoum dans le quartier populaire de Sidi Moumen. Ensuite, chez Catherine qui développe dans le jardin de sa maison un potager vertical puis chez Ingrid et Hadj qui ont sur le toit de leur maison un grand poulailler avec une centaine de volailles dans le quartier Anfa. Nous continuons à la Faculté des sciences Ain Chock (FSAC) qui expérimente un jardin pédagogique irrigué par l’eau issue d’une station d’épuration avec un filtre végétale. Pour conclure, la Forêt Comestible, immense jardin potager de permaculture au Lycée Lyautey.

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